Après quelques rappels d'ordre historique, la circulaire présente le dispositif (public concerné, règles d'usage des produits) et précise la responsabilité pénale des intervenants au dispositif :
immunité pénale des usagers du chef d'usage et de détention pour usage de produits stupéfiants ;
immunité pénale des intervenants médico-sociaux du chef de complicité d'usage illicite et de facilitation de l'usage illicite de stupéfiants, mais non du chef d'homicide ou de blessures involontaires ;
possibles poursuites pour atteintes involontaires de la personne morale gestionnaire de la salle, en causalité indirecte, "sans qu'il soit nécessaire d'établir une faute grave à son encontre".
Il s'agit également de déterminer les adaptations de la politique pénale à mettre en oeuvre dans ou aux abords des salles, notamment en ce qui concerne la lutte contre la consommation de stupéfiants sur la voie publique et contre les trafics de stupéfiants impliquant et visant les usagers de la salle.
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